SUR L’ILE DE HOUAT
Sur l’ile de Houat, tout près du port
J’ai désiré une femme au joli corps.
Elle avait des seins bien lourds
Une large poitrine gainée d’un soutien-gorge très court ;
A mon regard, ses seins n’ont pas pu échapper
Car ils étaient très dénudés.
Cette femme avait de fortes mamelles
Que j’ai trouvées ma foi bien belles.
Elle était ronde aussi d’un peu partout
Solidement bâtie, jeune, avenante, et tout et tout…
La peau très fine, douce sans doute à caresser
Blanche, à peine hâlée.
Elle semblait être d’une âme tranquille
Paisible, certainement à vivre facile
Et devoir prendre au bel amour plaisir
Et en avoir souvent désir.
Immédiatement, je l’ai trouvée bien à mon goût, et me suis dit :
« Cette personne très attirante
Sans hésiter, je la prendrais bien comme amante ;
Allez, vas-y ! »
Hélas, quand juste je décidai de l’aborder
Pour lui parler
Sur le bateau elle est montée
Ne me laissant le temps de rien lui dire ni rien tenter.
Alors, quittant le port, elle est partie
Voilà ! Ce fut raté ! Tant pis !
Adieu la Belle
Aux belles mamelles
Bonne route ! Bon vent
De vous je me rappellerai longtemps !